Un blog du WebPedagogique pour preparer son epreuve de philo
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Fiche de revision: la conscience et l’inconscient
– etre conscient c’est etre present a soi et au monde ; etre la, sentir, prendre acte, ( Il existe le froid comme) etre capable de reagir. C’est la conscience immediate. Un systeme sensori-moteur et 1 systeme nerveux central en bon ordre suffisent Afin de etre conscient pour le sens.
Ne pas etre conscient pour le sens la, c’est etre endormi, ivre mort ou atteint d’une pathologie d'une perception. Etre conscient, c’est percevoir.
– etre conscient, c’est percevoir qu’on percoit, se rendre vraiment compte de votre dont on a une conscience immediate ; abonnement christianmingle votre n’est nullement seulement etre la, c’est savoir qu’on est la. C’est ce qu’on appelle la conscience reflechie, qui fera retour sur ce dont on a une conscience immediate.
D’ou votre double mouvement :
– distanciation (mettre a distance la sensation de froid qui m’engourdit, me glace, me colle comme un objet pour la pensee , plus juste comme 1 vecu , votre etat. C’est et cela se marche quand je porte attention a quelque chose dont j’ai avec ailleurs la sensation. Il y a nullement juste le froid, ils font desormais le froid pour moi.
– d’appropriation , de synthese : depuis aussi moi dans le froid. Percevoir qu’on percoit, c’est en aussi temps libre que l’on te prend conscience de l’etat de conscience ( distanciation ) , prendre conscience que cet etat de conscience est le mien : c’est moi qui ait froid.
Cela signifie qu’en meme moment que je percois que je percois, je m’entrapercois. J e me percois tel theme de votre objet ( etat de conscience) meme si je ne suis jamais l’objet ma conscience.
La conscience reflechie est donc en aussi temps que la pleine conscience des trucs, la conscience de soi.
Pour le sens, ne pas etre conscient, c’est etre par exemple tel le somnambule : il percoit mais ne se percoit pas percevant et alors n’a aucune memoire de ces promenades nocturnes ( ni de compte a rendre) qu’il ne ramene gui?re a soi ; c’est aussi le cas du schizophrene qui ne ramene jamais a lui ses actes, par distraction : il a eu une intention, mais c’est a votre autre qu’il prete l’action ; c’est aussi l'eventualite d'une distraction pathologique : impossibilite de synthetiser l'ensemble des actes et etats de conscience.
Cette conscience reflechie fera :
1) qu’on reste capable d'effectuer retour concernant votre dont on a une conscience immediate : de s’interroger, d’analyser, de douter, donc de penser
2) qu’on « possede le je dans sa propre representation », on se crois comme UN et IDENTIQUE ( aussi) sous nos differents etats de conscience. Sans cela, on se perdrait dans tous nos etats de conscience, sentiment de dispersion, d’eclatement. C’est et cela fera qu’on se represente tel « une seule et meme personne »
Texte de Kant, texte 1 p. 100 ( L , P 190) : Kant considere que une telle conscience reflechie est votre « privilege humain » donc une qualite essentielle et distinctive de l’homme. Par la, Cela reste « une fin en soi » , a une dignite, une valeur absolue ; l’animal comme 1 objet n’est qu’un « moyen », a votre tarifs, une valeur absolue ;
3) qu’on sait que l’on reste : Descartes et son cogito.
I. Une conscience de soi a la connaissance de soi
A. Descartes et le Cogito ergo sum.
– (propos photocopie) : doute hyperbolique ; hypothese du malin genie dans les meditations Texte 1 p 20 ( L. P24)
– passage du je sais que j'suis au je sais ce que j'habite : une substance pensante , un « res cogitans) : dualisme + sustantialisme
B. Les critiques de Descartes :
1. Nietzsche ( 1844-1900) : descartes victime une grammaire Texte 1 P24 (L. P28)
2. Kant ( 1724- 1804) et le paralogisme une substantialite : penser/connaitre, associer a un concept, votre fera, une experience OR Pas d’experience du moi comme le evoque Hume ( 1711-1776) ( Texte 2 p42) ( L p58).
Le je est un « je transcendantal » : condition de toute experience possible, mais qui ne va etre l’objet d’aucune experience.
3. Sartre et la choseification de la conscience : digestion, ramener dans l’interiorite, ramener a soi, vers le sujet, aussi que la conscience est toujours conscience de quelque chose , mouvement vers, « connaitre, c’est s’eclater vers » Texte 2 p25 ( L. P 29)
Ceci evoque, votre conscience de soi fera qu’on se sait etre un je, un individu, mais elle ne me dit pas qui j'suis, avoir un je, ce n’est toujours pas avoir votre moi ( un moi empirique)